
OOo, c'est chiant. c'est peut-être gratuit, mais y a des trucs qui sont quand même moins bien pensé que sous Word, et des choses qui devraient être VRAIMENT simples deviennent un vrai casse-tête. Je ne sais pas, moi, mettre des numéros de pages sur des pages en vis-à-vis, ça DEVRAIT être simple...
En ce moment, j'ai l'impression d'être une pauvre petite locomotive (une avec une antique chaudière à bois, vous voyez ? ) à laquelle on aurait attaché un peu trop de wagons...
Pas assez de temps pour moi, et le peu de temps que j'ai, je me disperse. Normal, quoi, j'ai le droit de souffler un peu !
Je dessine un peu beaucoup moins là. Y a la dernière page de mon cahier qui me regarde et qui me fout les pétoches et le dessin qui s'y couche n'arrive pas à me convaincre. Pourtant, le précédent était hard, j'en ai bavé, des trames partout, des heures de boulot (mais vous ne le ferez pas)(tout de suite en tout cas)
Celui de cet article pose un peu mes limites : c'est devenu un crime passionnel quand ça aurait dû être un réglement de compte mafieux. Bordel, que c'est dur de dessiner une arme à feu dans la main de quelqu'un. Le prochain dessin, j'ai eu le même problème, et j'ai dû sacrifier le pétard de la même façon. Puis là, j'ai déconné, l'encre de chine a bavé sur les repère du viseur à droite. Et au départ, je ne voulais pas foncer les parties hors du cercle, mais mon pinceau est allé plus vite que ma tête.
Bon, comme vous le lisez, j'ai rien de palpitant à (vous) raconter. Ma life est un cratère lunaire, tous les cailloux se ressemblent.
J'aimerai que le projet d'Artbook collectif avance plus vite. Heureusement Alwine et Lowra sont là pour supporter mes humeurs.
Vous devriez avoir le choix des supports, alors souriez. Enfin, vous verrez bien. Je fais des tests en ce moment. Mais j'attends encore des travaux :@
La semaine prochaine je tourne (pas à Manhattan). J'aurais peut-être pas le temps ni la force de vous rendre visite. J'ai des horaires... :S Ils me font froid dans le dos. D'avance.
Bonnes vacances à ceux qui les ont (s'ils les méritent)